Projet photovoltaïque
d'Olérat (16)

Edito

Bonjour à toutes et à tous, 

Verso Energy, en partenariat avec les Sablières de la Tardoire, étudie la faisabilité d’un projet photovoltaïque sur une parcelle située sur la commune de La Rochefoucauld-en-Angoumois, au lieu-dit Olérat, dans le département de la Charente

Notre objectif ? Contribuer à la production d’énergies renouvelables sur le territoire en réhabilitant une partie de la sablière déjà exploitée !

Vous trouverez sur ce site toutes les informations relatives au projet et un formulaire de contact pour poser toutes vos questions.

Bonne visite !

L’équipe du projet d’Olérat.

Le projet en bref

2023-2025

3,5 ha

de parcelles
remises en état

1,7 ha

de panneaux solaires

4 MWc

Puissance installée

Le saviez-vous ?

Le parc photovoltaïque produira l’équivalent de la consommation électrique annuelle
de 1 000 foyers, soit environ 2 200 habitants. Cela représente près de 10% de la population de la Communauté de Communes La Rochefoucauld Porte du Périgord.

Où se situe le projet ?

Le projet est localisé au sud-est de la commune de La Rochefoucauld-en-Angoumois.

Calendrier : où en est-on ?

Automne 2023

Cession d’activité partielle de la sablière

Fin 2023

Information préalable de la municipalité et lancement des études

Printemps 2024

Délibération du conseil municipal plaçant le projet en zone d’accélération pour les énergies renouvelables

Printemps / Été 2025

Présentation du projet et consultation du projet auprès de la DDT et de la Communauté de Communes

Septembre 2025

Organisation d’un forum d’information

Novembre 2025

Finalisation des études

Décembre 2025

Dépôt du dossier de demande de permis de construire

Premier semestre 2026

Instruction du dossier par les services de l’Etat

Deuxième semestre 2026

Enquête publique

Fin 2026

Décision du préfet

2027-2028

Construction

Deuxième semestre 2028

Mise en service

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Historique du site

Les Sablières de la Tardoire

L’exploitation de la sablière, située au site d’Olérat, a été autorisée en 1989. Les matériaux extraits sont constitués de sables et de graviers.

La remise en état partielle
Dans l’emprise en cessation d’activité partielle, l’extraction (dans le cadre de l’autorisation actuelle) a débuté dans les années 1990. L’exploitation a été réalisée sur environ 5 mètres de hauteur.

Dans le cadre des opérations de remise en état coordonnée, la zone d’extraction a été utilisée comme bassin de décantation à partir des années 1995 et ce pendant environ 13 ans soit jusqu’aux années 2008. Pendant cette période, les fines de décantation ont été maintenues dans le bassin qui a été partiellement remblayée. Après 2008, le remblayage de la zone a été finalisé avec des matériaux inertes extérieurs jusqu’en 2010 pendant environ 2 ans.

Le secteur remblayé a été utilisé de 2011 à 2022 comme zone de stockage de matériaux.

L’implantation du projet

Le scénario d’implantation final sera le résultat d’une variante adaptée aux enjeux du site et optimisant la production d’électricité renouvelable. Celui-ci a été pensé pour répondre aux exigences réglementaires tout en prenant en compte les dimensions humaines et environnementales, en concertation avec les acteurs du territoire.

Verso Energy a veillé à optimiser l’implantation paysagère du projet afin d’en améliorer au maximum l’intégration visuelle.

La sablière possède actuellement une très bonne couverture paysagère sur les façade Sud, Est et Ouest. L’ensemble de cette couverture sera conservé. De plus, afin de la compléter et de limiter les visuels possibles sur le projet, une haie d’arbres sera implantée sur la façade Nord du site.

Les chiffres clés

Contexte régional : la région
Nouvelle-Aquitaine ambitionne de multiplier par deux la part des énergies renouvelables dans la consommation d’énergie finale pour atteindre 50% en 2030. Source (SRADDET Nouvelle-Aquitaine)

4,5

GWh/an de production
d’électricité

1100

tonnes de co2
évitées par an

+1%

de la puissance photovoltaïque installée dans le département
de la Charente.

Les étapes du projet

Les études préalables

Une fois la zone de projet identifiée, plusieurs études sont menées afin d’établir un diagnostic préliminaire écologique et paysager. Cet « état initial » dresse une véritable photographie de l’environnement du projet : il consiste à observer les espèces présentes sur le site, à analyser l’environnement physique du terrain ainsi qu’à étudier les caractéristiques paysagères du territoire. Pour réaliser ces études, Verso Energy s’appuie sur l’expertise du bureau d’études indépendant et spécialisé Artifex.

L’étude naturaliste décrit la situation actuelle du site en matière de biodiversité et d’écosystèmes. Elle s’appuie sur des données bibliographiques et sur des passages réguliers d’écologues sur site pour observer les espèces fréquentant le site. Elle comprend plusieurs volets :

Flore et habitats : inventaire des espèces végétales et habitats naturels présents.
Faune : identification des espèces animales, avec un focus sur les espèces protégées.
Zones protégées et continuités écologiques : analyse des sites classés (Natura 2000, ZNIEFF, réserves naturelles).
Qualité des milieux naturels : état des cours d’eau, des zones humides, de la qualité de l’air et des sols.

L’étude environnementale décrit la situation actuelle du site et de ses environs. Elle s’appuie sur des données bibliographiques, réglementaires et sur des observations de terrain. Elle comprend plusieurs volets :

Milieu physique : état des sols, sous-sol, ressources en eau (souterraines et superficielles) et climat.
Milieu humain : analyse de la population, des activités économiques, des infrastructures, de l’occupation des sols (agriculture, forêt) et des aspects santé (qualité de l’air, bruit, habitat).
Gaz à effet de serre : inventaire des sources d’émissions et des puits de carbone sur le site et ses alentours.
Risques naturels et technologiques : identification des risques d’inondation, de mouvements de terrain, de sismicité, d’incendie, ainsi que des risques industriels ou liés au transport de matières dangereuses.

L’état initial paysager évalue la situation visuelle et esthétique du site avant le projet. Il inclut :

La caractérisation du paysage : analyse des formes du relief, des éléments architecturaux.
La perception visuelle : points de vue emblématiques, co-visibilité avec des éléments patrimoniaux, visibilité depuis des lieux d’intérêt collectif.

L’étude d’impact et la séquence ERC

Le bureau d’études chargé de la rédaction des états initiaux formule des recommandations visant à éviter, réduire et compenser (ERC) les impacts potentiels du projet. Cette démarche ERC, inscrite dans le Code de l’Environnement, est systématiquement mise en œuvre.

Ces recommandations peuvent être de différentes natures :

  • Modification de l’implantation du projet
  • Conservation de boisements
  • Plantation de haies végétales
  • Ajustement de l’inclinaison des panneaux pour limiter le risque de collision des oiseaux
  • Mise en place de mesures de lutte contre les espèces envahissantes, etc

En tenant compte de ces préconisations et en concertation avec l’ensemble des parties prenantes, l’équipe projet engage ensuite une phase de réflexion visant à définir l’implantation optimale du projet. C’est sur cette implantation définitive que sera réalisée l’évaluation complète des impacts.

L’instruction des demandes d’autorisation

Le dépôt du projet en préfecture 

Une fois l’ensemble des études finalisées, la demande de permis de construire est déposée en Préfecture. Elle est instruite par les services de l’État. De nombreuses consultations sont effectuées notamment auprès de la Mission Régionale d’Autorité environnementale (MRAe) ou de la Commission Départementale de Préservation des Espaces, Naturels, Agricoles et forestiers (CDPENAF). 

L’enquête publique

Pendant l’instruction, l’autorité organisatrice demande au président du tribunal administratif de désigner un commissaire-enquêteur chargé de l’enquête publique.

Cette étape correspond à la concertation « officielle » du projet : elle vise à recueillir les avis et observations des communes et de leurs habitants dans le périmètre de l’enquête publique, sur la base du dossier qui est accessible dans les mairies. À l’issue de cette période, le commissaire-enquêteur rédige un rapport et rend un avis au préfet. C’est sur la base des avis formulés par les différents services consultés que le préfet décide de délivrer ou non l’autorisation de permis construire du parc photovoltaïque.

Le parc en exploitation

La construction et la mise en service

Lorsque le permis de construire est délivré, les travaux d’aménagement du parc pourront commencer : ils durent en moyenne entre 6 mois et 1 an, mais ce délai peut varier d’un projet à l’autre (selon sa taille, les difficultés rencontrées, etc.). Pendant cette période, des équipes dédiées aménageront les différents accès, enfouiront les câbles, monteront les structures et s’occuperont du raccordement au réseau. Ils s’assureront, durant les travaux et à l’issue, de protéger la qualité des sols et la biodiversité.

  • Le chantier terminé, le parc photovoltaïque est mis en service : il peut enfin produire de l’énergie !
  • Des mesures réglementaires et des certifications sont alors effectuées pour vérifier que le parc satisfait bien toutes les exigences spécifiées dans les études d’impact (et pouvoir mettre en place des correctifs si un écart est constaté).

Des retombées fiscales
sur plusieurs décennies

Une fois en fonctionnement, un parc photovoltaïque génère chaque année des retombées fiscales pour l’échelon local. Ces ressources sont partagées entre les différentes collectivités conformément à la loi : 20% pour la commune, 50% pour la communauté de communes et 30% pour le département.

En ce qui concerne le projet photovoltaïque d’Olérat, les ressources fiscales issues de la taxe IFER sont estimées comme ceci :

  • 3 000 €/an pour la Commune de La Rochefoucauld-en-Angoumois
  • 7 000 €/an pour la Communauté de communes La Rochefoucauld Porte du Périgord
  • 4 300 €/an pour le Département de la Charente

Ces ressources estimées sont susceptibles d’évoluer au fil des ans.

Le démantèlement

Un parc photovoltaïque est autorisé pour une durée maximale de 40 ans. À l’issue de son exploitation, le site est entièrement démantelé et restitué à son état initial.
Cette fin de vie est prise en charge par l’énergéticien, en l’occurrence Verso Energy. Les modules photovoltaïques et les structures sont démontés et évacués, tandis que les postes électriques sont déconstruits. Des travaux de restauration sont ensuite réalisés pour que la parcelle retrouve ses caractéristiques d’avant-projet.

  • Ces opérations sont facilitées par la conception même du parc, pensée dès le départ pour garantir sa réversibilité. Ainsi, les panneaux sont installés sur des structures métalliques fixées par mono-pieux, ce qui préserve la qualité des sols en évitant toute fondation en béton.

Le recyclage des panneaux

La collecte et le recyclage des panneaux photovoltaïques font l’objet d’une obligation réglementaire depuis 2002. Ils sont encadrés par la directive européenne sur les déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE). En France, l’éco-organisme Soren est en charge de cette filière.

Les panneaux solaires sont recyclables à plus de 95% : leurs composants principaux (verres, plastiques et aluminium) sont recyclés dans des filières industrielles existantes. Dans une logique d’économie circulaire, ils peuvent être réutilisés pour fabriquer de nouveaux modules.

Informer et être à l’écoute

Verso Energy, la famille Gautier, et la commune ont à cœur d’apporter une information fiable et continue du projet aux habitants de La Rochefoucauld-en-Angoumois.  

Un parc photovoltaïque peut susciter des questionnements ou des observations. N’hésitez pas à nous en faire part, nous sommes disponibles pour y répondre !

    La démarche d’information
    et de consultation

    Dès le commencement du projet, la mairie de La Rochefoucauld-en-Angoumois a été consultée afin de construire un projet qui s’intègre le mieux possible sur le territoire. Le site d’Olérat a d’ailleurs été placé en zone Ner au sein du PLUi concerné par la commune.  Par la suite, des consultations ont été faites auprès d’acteurs du territoire :

    Ces consultations ont permis d’affiner le projet et de s’assurer sa cohérence avec le territoire, les objectifs en matière de transition énergétique et la réglementation. Conscient du caractère relativement nouveau des projets photovoltaïques en France, et des nombreuses questions qu’ils peuvent soulever chez les habitants, Verso décide de mettre en place une démarche de concertation et de communication en amont du dépôt du permis de construire avec l’organisation d’une permanence publique le jeudi 18 septembre à La Rochefoucauld-en-Angoumois.

    Les zones d’accélération des énergies renouvelables (ZAENR)

    La loi du 10 mars 2023 relative à l’accélération de la production d’énergies renouvelables (APER) a instauré une planification territoriale des énergies renouvelables en permettant aux communes de définir, sur leur territoire, des zones d’accélération. Ces zones doivent être définies à l’issue d’une concertation publique afin de proposer des emplacements acceptés par les habitants.
    La concertation a été réalisée du 08/11/2023 au 06/12/2023 pour la commune de La Rochefoucauld-en-Angoumois. 

    Le site d’Olérat concerné par le projet photovoltaïque a bien été inclus dans ces zones d’accélérations.

    Des réponses à vos questions

    Le fonctionnement du parc photovoltaïque

    Pour produire de l’énergie, un parc photovoltaïque se compose de plusieurs éléments majeurs.

    1) Les panneaux solaires produisent l’énergie
    2) Les structures métalliques supportent les panneaux solaires
    3) Les onduleurs permettent de transformer le courant continu (celui qui est produit par les panneaux) en courant alternatif (celui qui est envoyé vers les transformateurs électriques)
    4) Les transformateurs électriques convertissent le courant basse tension, qui est produit par le parc photovoltaïque, en courant haute tension, lequel peut être utilisé par le réseau public de distribution
    5) Dans le poste de livraison se situe un compteur : il comptabilise la production électrique de la centrale, puis l’injecte dans le réseau public
    6) Des lignes de raccordement transfèrent l’énergie produite du parc au réseau public de distribution
    7) Des équipements annexes (tels que les clôtures, les citernes de stockage d’eau) concourent à la sûreté et la sécurité du site

    Le raccordement

    Une fois l’électricité injectée par le poste de livraison, elle est conduite vers le poste source le plus proche.  Ce poste source est connecté au réseau de transport d’électricité haute tension. En fonction du maillage national et des besoins du territoires, l’électricité est à nouveau convertie en basse tension, pour être distribuée dans les foyers. Le tracé du raccordement ainsi que le poste source sont décidés par le gestionnaire de réseau lorsque le permis de construire a été obtenu.

    Composants et principes de fonctionnement des panneaux

    Un panneau photovoltaïque est composé de plusieurs modules montés sur une structure. Chaque panneau est constitué de plusieurs couches, dont les cellules photovoltaïques, qui contiennent des matériaux photosensibles. Lorsqu’elles sont au contact du rayonnement solaire, les électrons s’activent, et produisent de l’énergie. Cette énergie est ensuite redirigée vers le réseau électrique.

    Le saviez vous ?

    Les modules photovoltaïques ne sont pas constitués de terres rares ! Leur composant principal, le silicium, est le 2e atome le plus présent sur Terre, après l’oxygène. 
    *source : ADEME, rapport Terres rares, énergies renouvelables et stockage d’énergie

    Quelle est la durée de vie d’un panneau photovoltaïque ?

    La durée de vie d’un panneau photovoltaïque est d’en moyenne 40 ans, lorsqu’ils sont conformes aux normes françaises et européennes.

    Les panneaux résistent-ils aux intempéries ?

    La conception des panneaux photovoltaïques est soumise à des normes de la Commission Électrotechnique Internationale (CEI). Elles garantissent que les modules installés soient en mesure de résister à la chute d’un grêlon de 1,25 cm de diamètre, lancé à 140 km/h.

    Peut-on faire du photovoltaïque « made in France » ?

    Aujourd’hui, la fabrication des panneaux photovoltaïque est surtout effectuée en Chine. Pour autant, avec le développement de la filière, des usines françaises voient peu à peu le jour. L’implantation à Fos-sur-Mer d’une giga-usine dédiée à la fabrication de panneaux solaire a ainsi été annoncée début 2023.

    Les panneaux génèrent-ils des nuisances sonores ?

    Les panneaux solaires n’émettent pas, ou très peu, de nuisances sonores. La seule émission sonore perceptible provient des ventilateurs des locaux techniques, mais devient inaudible lorsque l’on s’en éloigne de quelques dizaines de mètres.

    Idées reçues

    « Le parc va artificialiser le terrain »

    Faux – Aucun béton ne sera coulé. Les panneaux seront installés avec des pieux dans les sols. Les câbles électriques seront enfouis à 80 cm de profondeur ou en limite de roche dure. Le parc photovoltaïque est ainsi facilement démontable lorsqu’il arrive en fin de vie.

    Les applications des matériels Pajot en photo

    ☝️ Pieux enfoncés dans le sol sur lesquels les panneaux seront installés

    « L’installation propage un fort champ électromagnétique, gênant pour les humains »

    Un parc photovoltaïque et l’ensemble des éléments qui le composent (panneaux, câbles de raccordement, transformateur, etc.) doivent respecter des normes en la matière. Même à 50cm le champ électromagnétique des panneaux est ainsi très faible, comparable à celui de beaucoup d’appareils électriques de notre quotidien.

    « Les panneaux photovoltaïques ne sont pas recyclables »

    Faux – Les panneaux solaires sont recyclables à 96% ! Leurs composants principaux (verres, plastiques et aluminium) sont recyclés dans des filières industrielles existantes. Dans une logique d’économie circulaire, ils peuvent être réutilisés pour fabriquer de nouveaux modules.
    Le silicium qui les compose, lui est recyclé jusqu’à 4 fois par la filière.

    « La commune de La Rochefoucauld-en-Angoumois n’a pas un taux d’ensoleillement suffisant pour accueillir un parc photovoltaïque »

    Faux – La France dispose d’un gisement solaire favorable à l’implantation d’un parc photovoltaïque, le 5e à l’échelle européenne. Et si la Charente est moins ensoleillée que certaines régions du sud de la France, son taux d’ensoleillement est meilleur que celui de l’Allemagne, qui est leader européen en termes de production d’électricité à partir de l’énergie solaire. 
    De plus, le potentiel solaire d’une installation dépend d’autres facteurs, tels que sa surface, sa puissance, son inclinaison, son exposition, etc. Par ailleurs, malgré ce que l’on pourrait penser, les panneaux photovoltaïques continuent de fonctionner pendant la saison hivernale, même si leur production électrique est diminuée. Enfin, si un développeur fait le choix d’implanter un parc photovoltaïque sur un territoire, c’est qu’il a finement analysé son futur rendement !

    « Les panneaux photovoltaïques nécessitent trop d’énergie à leur fabrication »

    Faux – À l’heure actuelle, on estime qu’un panneau photovoltaïque rentabilise l’énergie nécessaire à sa fabrication, à son transport, à son installation et son recyclage en un délai de 12 mois à 3 ans en moyenne.

    « Une installation photovoltaïque dégrade les sols et notre biodiversité »

    Faux – La dégradation des sols induite par l’installation d’un parc photovoltaïque est limitée par son caractère facilement démontable (le parc n’a pas de fondations grâce à l’utilisation de mono-pieux). De plus, si un parc photovoltaïque impacte les sols et la biodiversité, le code de l’Environnement requiert l’application de la séquence Éviter, Réduire et Compenser, préalable à toute installation.

    « Le parc va gêner la faune sauvage »

    Les clôture de type parc à mouton sont installées pour protéger le parc d’éventuels dégâts liés à la présence de grands mammifères. Néanmoins, le grillage choisi comporte un maillage très large en pied de clôture de façon à permettre le passage de la petite faune (faisans, lièvres, renards, hérissons…).

    Ils conduisent le projet

    Verso Energy, un acteur engagé dans la transition énergétique pour participer au développement d’un mix énergétique décarboné et compétitif.

    Une volonté de développer des projets photovoltaïques en étroite collaboration avec les acteurs locaux, au plus proche des réalités du territoire

    Une équipe projet pluridisciplinaire pour développer un projet innovant, respectueux de l’environnement et intégré dans le paysage :

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    Mathis Landy

    Ingénieur Développement
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    Olivier Faucher

    Responsable Développement
    Nouvelle-Aquitaine

    Ils nous accompagnent

    Tout au long du projet, nous sommes accompagnés par des bureaux d’études indépendants, dont l’expertise aiguille nos choix techniques et stratégiques.

    L'Artifex | Centre de ressources du Génie écologique

    Étude d’impact du projet
    Artifex est un bureau d’études environnementales et paysagères aux valeurs sociales fortes, reconnu pour la qualité de ses expertises et son impartialité, tant au niveau national qu’à l’international. Sa mission est d’être le garant du respect de la règlementation environnementale sur des projets d’aménagement du territoire et de gestion des espaces naturels.

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    Design technique du projet
    Greenbirdie est un bureau d’études spécialiste de la performance énergétique et du photovoltaïque depuis plus de 15 ans. Il accompagne, en particulier, les porteurs de projet dans la définition des caractéristiques techniques des installations.